Max Richter est un
compositeur germano-britannique néo-classique. Vous avez peut-être (sûrement,
même !) déjà entendu ses mélodies au cinéma ou à la télévision… C’est
souvent par ce biais que le commun des mortels le découvre. Max Richter, c’est
tout simplement (et entre autres) : Shutter
Island, The Leftovers, Valse avec
Bachir, Elle s’appelait Sarah, Black Mirror, Mémoires de jeunesse… Pour ne
citer que ceux-là.
A conseiller à ceux et celles qui aiment lire et/ou écrire en se plongeant dans une ambiance musicale particulièrement triste...
Ce que j’aime chez
lui, c’est la profonde, c’est l’abyssale mélancolie qui se dégage de ses
morceaux, du moins ceux que j’ai l’habitude d’écouter en boucle. C’est
clairement la plupart du temps à verser un torrent de larmes ou à se tirer une
balle. On aime ou on déteste, c’est certain. Pour ma part, j’ai un goût
prononcé et assumé pour les mélodies lacrymales. Alors, voici dix morceaux à
(re)découvrir, sélection non-exhaustive, non-classée, et surtout très personnelle.
On the nature of daylight(feat. Dinah Washington)SHUTTER ISLAND | |
SarajevoMEMORYHOUSE | |
Dona nobis Pacem 1THE LEFTOVERS | |
H in a new England24POSTCARDS IN FULL COLOUR | |
Written on the sky
THE BLUE NOTEBOOKS
| |
AnathemataMEMOIRES DE JEUNESSE | |
NovemberMEMORY HOUSE | |
LuminousPERFECT SENSE | |
Summer 3LES QUATRE SAISONS DE VIVALDI |
Commentaires
Enregistrer un commentaire